Chers Paroissiens et chers Amis de notre Ville et de nos Villages,
 Joyeux Noël,

Quelle que soit la position de chacun au plan religieux, nous ne pouvons pas nier le respect, la joie et l’étonnement que cette très belle Fête Chrétienne suscite. Vous adresser nos vœux, c’est vous dire notre joie et la partager avec vous.

Bethléem, le petit village de Palestine, dont nous parle l’Évangile de la nuit de Noël est le « centre du monde » ; on pourrait dire « le cœur de l’humanité », de cette humanité blessée par les guerres et les violences un peu partout. Et c’est là que, dans le plus grand dénuement, Jésus vient de naître et que nous partageons l’émerveillement et la joie des bergers.

À l’annonce de l’ange ils ont quitté leurs pâturages et leurs troupeaux et se sont mis en chemin en toute hâte.

Est-ce que nous comprenons vraiment la portée de l’annonce de l’ange : « aujourd’hui vous est né un Sauveur, Christ et Seigneur ? » Dieu lui-même s’est fait pauvre petit enfant d’homme. C’est là, la nouvelle inouïe que proclame Noël !

Comme les bergers, écoutons la troupe céleste des anges chanter : « gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes qu’il aime ».

Méditons le message des bergers et gardons-le dans notre cœur. Devenons, nous aussi, porteurs de joie, de paix et de fraternité.
En Jésus, Dieu est désormais présent parmi nous. Il est venu habiter chez nous. Il est là dans nos vies et dans le monde. Crions : « Joyeux Noël au monde entier. »

 
 Vos prêtres.