Bonne et sainte année 2022 !

31 décembre 2021

Bonne et sainte année 2022 !

Tous nos vœux pour une sainte année 2022 !

Avec de tels vœux, cette année nouvelle ne sera peut-être pas sans virus ni sans soucis, mais elle sera nécessairement une sainte année, pour goûter et préparer dans le temps qui passe, la Rencontre permanente avec Celui que nous recherchons dans la foi, qui nous attend pour l’éternité !

L’abbé Blaise et l’abbé Marc remercient de tout cœur tous les paroissiens qui, à l’occasion des fêtes, leur ont apporté des petits ou gros cadeaux, friandises et autres sucreries ! Merci aussi à toutes les personnes qui participent régulièrement au panier des prêtres !

Un grand MERCI à tous ceux et celles qui ont œuvré au service de notre communauté tout au long de l’année écoulée, qui ont permis que les fêtes de Noël soient réussies (crèche vivante, liturgie, chant, orgue, crèches, propreté des églises et chapelles, décoration, permanences, etc...), à tous ceux qui nous ont manifesté leur affection et leur soutien durant ces fêtes ou (et) au cours de cette année : que le Seigneur vous bénisse ! Les prêtres de la paroisse de Bollène ont beaucoup de chance !

Les messes de Noël ont connu, comme chaque année l’affluence, malgré les contraintes du moment. A noter cependant à la messe de 18h, la grande nouveauté d’un véritable orchestre des enfants avec quelques adultes : clarinettes, trompette, cor, hautbois, violons solistes et violons en pupitre, et orgue ! Merci à tous les enfants qui ont bien participé, sans oublier la crèche vivante si réussie et si belle qui réjouit les grands et les petits !

Quant à la messe de la nuit, le minuit chrétiens a pu résonner une nouvelle fois, grâce à l’animation de paroissiens en vacances que nous remercions beaucoup de s’être mis à la disposition de la liturgie de la paroisse.

Commençons donc cette année en faisant nôtre la merveilleuse prière à la Vierge dans le dernier chant de son Paradis de Dante Alighieri :

Ô Vierge Mère, Fille de ton Fils,
Humble, mais plus élevée qu’aucune autre créature ;
Terme fixe de la Volonté éternelle,
Tu as tellement ennobli la nature humaine
Que ton Créateur n’a pas dédaigné
De devenir ton propre Ouvrage.
Dans ton Cœur a été rallumé cet Amour,
Dont les rayons ont fait germer,
Au sein de la paix céleste, cette Fleur étincelante.
Soleil en son midi, Tu nous embrases
D’une ardente charité, et Tu es, pour les mortels,
La source d’une vive espérance.
Ô Femme, Tu es si grande, Tu as tant de puissance,
Que quiconque veut une Grâce, et ne recourt pas à Toi,
Veut que son désir vole sans ailes.
Ta bonté n’exauce pas seulement
Celui qui l’invoque ; souvent
Elle prévient généreusement les demandes.
En Toi est la Miséricorde, en Toi la Tendresse,
En Toi la Magnificence ; en Toi se réunissent
Toutes les vertus de toutes les créatures.